Corrigan Fest est un groupe de punk celtique canadien. Ils abordent des thèmes politico-historiques, et à part ça ils parlent de se bourrer la gueule et de faire la fête, donc ils sont gentils. Et puis le punk celtique, c'est cool et en général tout le monde aime bien.
Je suis fils, repris par une chorale à Ulm paraît-il
Tous les chemins mènent au rhum. M'enfin Nanar aussi mène souvent au rhum.
Bérurier noir
Salut à ToiOutre-Manche : Discharge
Ils ont inventé un truc qu'on appelle le D-beat, à la fois un genre musical et leur seule technique à la batterie, et ils ont occasionnés un nombre hallucinant de clones sans intérêt, mais eux ils déchirent tout. Mais vraiment tout. Genre c'est des légendes.Un pas vers le metal : Suicidal Tendencies
Un bon paquet de groupes n'a jamais trop voulu choisir entre influences punk et metal. Les plus érudits savent par exemple que le thrash metal est apparu par un mélange entre le hardcore US et le heavy britannique, mais certains groupes ont entretenu l'ambigüité en gardant un esprit punk malgré les éléments métalliques.Crust punk - Amebix
On vous a dit que le punk c'était un peu sale ? Le crust punk en remet une couche. Des anglais ont décidé de mélanger du metal avec du joy division, et ça a donné un truc relativement proche du metal (et de fait a fini par l'influencer à son tour) et d'une certaine façon un peu plus accessible que beaucoup de truc qui ont suivi. Et en général crust = groupe engagé, donc ils sont trè s vénér. Et si vous trouvez que le chanteur chante mal... ouais, un peu, c'est pas faux, mais il chante avec ses tripes, c'est ça le truc.Grindcore/Goregrind - Carcass
Le plus grand monument du grind anglais avec Napalm Death, avant qu'ils ne partent inventer le death mélodique. Ils ont contribué à lancer la mode des titres de chansons avec du vocabulaire médical gore et incompréhensible, et celle du growl dégueulasse (mais si doux pour celui ou celle qui a acquis la sensibilité du grind).Powerviolence - Infest
Je commence par le début du début, Infest est souvent cité comme l'inventeur du genre, même si le terme n'est pas d'eux. ça va vite et ça hurle. Mais genre à un point où vous allez relativiser la vitesse et les cris des trucs du dessus, LA ils vont vite et LA le type gueule pour de vrai. Ils reprennent d'ailleurs la "tradition" du bouquet final, le dernier morceaux qui fait un tiers de l'album, il est très lent mais surtout hyper lourd, donc pour un album de 16 minutes, ça vaut le coup d'écouter jusqu'au bout, parce que, Dios mío, c'est la quintessence de la Colère à l'état pur.