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Montée en statique
Partir d'un debout sur les cuisses, puis monter un pied après l'autre sur
les épaules. La parade, derrière, la tient d'abord à la taille, puis par
les chevilles.
Montée en dynamique
Préparation : les deux bases se tiennent côte à côte, pas trop
serrées, en suspension sur les cuisses («sumo»). Les bases peuvent aussi
être face à face. La voltigeuse place son pied droit dans les mains de
du porteur de droite, et pose les mains sur les épaules des deux
porteurs, et met le plus de poids possible dans les bras. Le pareur de
derrière la tient à la taille.
Montée : les porteurs se baissent, et la voltigeuse met le pied
gauche dans les mains du porteur de gauche. On compte : "5, 6, 7, 8,
et 1, et hop!" (flexion, remontée, flexion, montée).
Le pareur arrière tient les chevilles de la voltigeuse. Une fois la
figure montée, les porteurs doivent «locker» leurs bras, et la voltigeuse
restée très gainée. S'ils s'arrêtent au niveau des épaules (du menton),
c'est une demi-extension (half extension). Les images ci-contre
montrent les deux étapes.
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Liberty ou Lib
La voltigeuse est debout sur une
seule jambe tendue, et lève l'autre genou à l'horizontale, en posant le
pied tendu contre le genou de la jambe tendue. Les bras sont
habituellement en V-haut, ou bien l'un en V-haut et l'autre à la
taille.
On peut le faire à différentes hauteurs avec un nombre variables de
porteurs. Avec quatre porteurs, les postes se répartissent ainsi :
le porteur principal soutient directement le pied; le second (devant) lui
tient les poignets; le troisième (derrière) tient la cheville de la
voltigeuse, tandis que le quatrième (côté) tient la plante du pied.
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Pied à la main, Y (Heel Stretch) La
voltigeuse est debout sur une jambe; l'autre jambe est levée sur le côté
et elle la tient par la cheville ou par le pied (pied tendu). L'autre
bras est en V-haut. Quelques petites choses à ne pas faire :
- Ne pas tenir le pied par les orteils, ce qui donnerait un pied
flexe.
- Ne pas tirer le pied vers l'avant; la main doit être derrière le
pied que l'on lève.
- Ne pas plier la jambe d'appui pour monter l'autre pied plus haut. Ce
serait inefficace, et ça rendrait le porté plus difficile pour le
porteur.
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